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dimanche 31 juillet 2005

Les petits enfants se sont bien amusés aujourd'hui alors que nous avons passé la journée chez grand-papa et grand-maman.
De gauche à droite : Zoé : 3 ans et demi, Kaya : 8 ans, Léo : 9 mois et Loïc-Antoine : 2 ans.
Comme ils sont mignons !

jeudi 28 juillet 2005

En venant me rejoindre ce matin, la première chose que Loïc-Antoine m'a dit fut : "Bonjour Maman d'Amour !" À 2 ans, je trouve ça vraiment mignon de sa part, surtout lorsque c'est accompagné d'un GROS calin. J'imagine que lorsqu'il en aura 16, ses intentions seront beaucoup moins nobles (argent, sorties...), alors profitons-en pendant que c'est gratuit...

mardi 26 juillet 2005

5

C'est le nombre de pipis que Loïc-Antoine a faits sur la toilette depuis hier soir. Nous sommes très fiers de notre GRAND garçon !
L'élément déclencheur fut certainement de voir son amie Simone assise sur notre toilette. Son orgueuil ne pouvait être piqué davantage. En effet, bien que tous ses ami(e)s à la garderie soient déjà habitués des lieux, aucun n'avaient réussi à convaincre Loïc-Antoine d'essayer.
Puis hier, l'événement s'est produit (avec quelques encouragements de David). Espérons que ce soir, l'orgueuil de Mila qui sera lui aussi touché par la vision de son meilleur ami sur la toilette...

Après une séance de body painting avec David, ils regardent les couleurs qui fuient sous leurs yeux.

(Je sais : Loïc-Antoine est très très très grand...)

lundi 25 juillet 2005

loïc-antoine ne veut plus aller à la garderie

Il y a un effet pervers à avoir deux mois de vacances (j'entends déjà certaines personnes s'offusquer du fait que j'oserais me plaindre de ces vacances : il n'en est rien, au contraire). Une des agréables choses que nous faisons tous les matins moi et Loïc-Antoine est que nous restons à flâner dans mon lit très très longtemps.
Puis, lorsque nous nous levons, nous prenons tout notre temps pour prendre notre petit déjeuner. Nous nous habillons vers 10 h... nous sommes paresseux, nous le savons et l'apprécions.
L'été est aussi fait pour aller à la garderie moins souvent. Une à deux journées par semaine, entre 11 h et 15 h 30, c'est assez pour casser la routine si bien établie pendant l'année scolaire. Chaque matin, une des premières choses que mon fils me dit en se levant, c'est qu'il ne veut pas aller à la garderie. Sa gardienne est partie, me dit-il. Le plus souvent, il a raison, il n'ira pas à la garderie. Mais certains matins, vous insistez, il ira à la garderie.
La semaine dernière, les crises ont fait leur apparition à mon départ de la garderie.

Il a refusé toutes les activités proposées, même la piscine. "Maman est partie..." voilà ce qu'il a dit toute la journée, les épaules levées, les mains tounées vers le ciel.
Puis, il a longé le corridor, encore et encore.

C'est assez pour me fendre le coeur 100 fois plutôt qu'une.
Alors ce matin, quand il m'implorais, en crise, de rester avec lui, j'ai bien failli céder. Puis, j'ai pris mon courage à deux mains et je suis allée le reconduire à la garderie.

1 vs 0 pour Caroline (mais ça m'a tout pris, vraiment).

samedi 23 juillet 2005

Jours sans clés : 0

J'avais cherché partout. Dans les tiroirs, dans les chaussures, dans les poubelles, sous les bureaux, dans les armoires, dans les chaudrons... elles n'y étaient pas.

J'avais fini par me rendre à l'évidence. Mieux valait ne plus les chercher, elles reviendraient d'elles-même. Ne plus y penser, nier l'événement.
Samedi matin, on s'est tous levés avec l'envie de se baigner (dans une piscine propre). On a téléphoné à "gwos-papa". Quand Loïc-Antoine a demandé à mon père s'il venait dans l'eau avec lui, celui-ci a tout de suite affirmé qu'il l'attendrait en après-midi.

On s'est préparé, on a fait les sacs.
C'est en prenant celui de David que le bruit s'est fait entendre.
Bien cachées au fond, mes clés étaient là.

C'est vrai que je n'avais pas pris la peine de fouiller dans le sac à dos de David, caché au fond de son armoire, derrière la boîte de linge, sous la pile de chaussures.
Non, je n'étais pas allée jusque là.


Le projet qui m'a permis de retrouver mes clés.

vendredi 22 juillet 2005

super héros

Depuis quelques temps, Loïc-Antoine insiste pour montrer ses bobos. Il commence comme ça, tout simplement, par étaler son genou sur lequel reposent quelques égratignures en parfaite voie de guérison. "Regarde mon bobo ça fait mal...!"
(quel mensonge mon petit...) Puis, il poursuit de cette façon avec tous les petits bobos, des plus gros aux plus minuscules, en passant par ses erafflures et ses ecchymoses, si infimes soient-elles. En le voyant énumérer ses bobos à son père hier, je me demandais ce qu'il recherchait. De la sympathie, de la compréhension ?
Je ne le crois pas. En fait, je crois que son désir, c'est d'impressionner la galerie en faisant cet inventaire. Il veut que nous constations à quel point il est brave et courageux d'avoir passé à travers autant d'épreuves (et de chutes).
Le super héros de la ville, c'est lui. Il sera ravi de vous les montrer, ses 7 bobos et ses 3 ecchymoses actuelles, pour autant que vous soyez renversés par tant de témérité et de cran.


Ecchymoses, égratignures (et camions), par loïc-antoine kirouac.

Jours sans clés : 8

mardi 19 juillet 2005

de la petite histoire qui ressemble à de la politique

Elles sont venues nous retrouver aujourd'hui, Geneviève et sa petite fille Simone. Nous sommes très heureux de les revoir dans le quartier, après un an d'absence où elles ont tenté la vie de banlieu en allant habiter à l'est de l'île.
Bref, elles sont de retour et nous sommes très très contents.

Petite conversation entre Simone et Loïc-Antoine :

Simone pointe Geneviève (sa maman) :
- C'est ma maman.
Loïc-A. me pointe :
- Non c'est ma maman.
Simone pointe Geneviève :
-Non, c'est ma maman.
Loïc-A. me pointe :
- Non, c'est ma maman.
Simone pointe Geneviève :
- Non, c'est ma maman.
Loïc-A. me pointe :
- Non, c'est pas ta maman, c'est MA maman.
Simone pointe Geneviève (et le ton monte) :
- Non, c'est pas ta maman, c'est MA MAMAN !
Loïc-A. me pointe :
- Nooooon, c'est pas ta maman, c'est ma maman, À MOI.
...
Et encore et encore, jusqu'à ce qu'on arrête le vieux couple de se chicaner.

Jours sans clés : 5

lundi 18 juillet 2005

L.-A. cherche M.



Il n'y a que 3 jours qu'elle est partie et il est déjà déprimé. Je crois qu'il a évoqué son prénom au moins 15 fois aujourd'hui en diverses occasions : en prenant le vélo, en marchant, à la piscine, en déjeunant, en dansant... Il s'ennuie, il faut l'avouer. Il fait toutes sortes de suppositions pour motiver son absence. Elle est à la garderie, elle fait dodo, elle est malade, elle est dans sa maison, elle est partie en vélo... autant de raisons évoquées par Loïc-Antoine pour parler de sa chère Mila.
Je souffre aussi quelque peu de ne pas entendre le téléphone sonner à 7 h 45 tous les matins pour savoir ce qu'on fait aujourd'hui...
Tout ce que je peux te dire Loïc-Antoine, c'est que les deux prochaines semaines seront chargées de Mila (et de sa maman). Tous les jours, tout le temps.
D'ici là, patience, ok ?

Jours sans clés : 4

dimanche 17 juillet 2005

voilà Alicia

Bonjour petite Alicia !
Enfin, elle est arrivée hier, la petite fille d'Annie et d'Éric.
Bienvenue Alicia, nous avons très très hâte de faire ta connaissance.

Et la cigogne, d'un coup d'aile décidé, reprend son envol.
Elle reviendra nous visiter en février. N'est-ce pas St... ?

vendredi 15 juillet 2005

Meilleurs amis
Un dernier calin avant les vacances de Mila.
Comment fera-t-il pour se séparer aussi longtemps de sa meilleure amie ?

Un peu plus tôt aujourd'hui :
La journée a mal commencé. Nous sommes allés déjeuner chez mon amie Émilie.
Déjà, je crois bien avoir donné une bonne centaine d'avertissements/de conseils/de menaces. Loïc-Antoine était déchaîné. Il n'était que 9 h 30 et déjà, j'étais épuisée. Émilie, elle, impressionnée par tant d'énergie et de détermination de la part de mon fils. À 11 h, nous avons repris la route en direction du parc De Lorimier où Mariella célébrait son anniversaire. Même scénario, mais pire encore. Nous nous sommes sauvés de la fête tout de suite après le gâteau. Jamais une sieste n'aura été autant bénéfique.

Bonne fête My!
À la fête de Mariella aujourd'hui où Loïc-Antoine fut un véritable monstre.

Jours sans clés : 2

jeudi 14 juillet 2005

gros doigt

Aujourd'hui, je passe une journée incroyablement mauvaise.

- mes clés sont disparues : elles sont cachées, mais où ?
Merci Loïc-Antoine.
- je me suis coupé un doigt en voulant faire de la salsa. J'ai dû aller au CLSC pour recevoir le vaccin contre le tétanos. 5 mm sous l'index, une belle coupure jusqu'à l'ongle... J'ai un gros doigt maintenant.
J'me sens comme E.T. Par contre, je crois que ç'aura beaucoup d'effet sur mon autorité envers Loïc-Antoine. Un "non" avec un gros doigt, c'est bien.
- Audrey a dû venir ici pendant que je suis allée au CLSC parce que la porte ne se barre pas (mes clés sont cachées).
J'ai dû la déranger pendant son étude.
- Alexandra a dû faire un détour en partant pour Sherbrooke pour venir me porter un double de mes clés. Elle partait dans la direction opposée.
- Cet épisode du gros doigt m'empêche de passer la journée avec un amie, tel que convenu. Pas de piscine, pas de salsa, juste un gros doigt.

Ce qu'il est gros mon doigt !
Le gros doigt en question.

mercredi 13 juillet 2005

de la magie (solution temporaire)

Pour mettre fin à d'éternelles discussions autour des situations suivantes :

- refus de changement de couche;
- refus de déjeuner, de dîner, de prendre la collation;
- refus de s'habiller ou de se déshabiler;
- refus de mettre les sandales;
- refus de mettre de la crème solaire;
- refus de se peigner les cheveux, de se brosser les dents, de se couper les ongles...
- refus de se laver les mains;
- refus de "venir me voir";
- refus de mettre la casquette/le chapeau;
- refus de sortir dehors;
...
Finalement, tout ce que je propose résulte en un refus de sa part.

MAIS ! Voilà la solution, toute simple et qui fonctionne
À TOUS LES COUPS !

Solution temporaire #1 (fait du bien à toute la famille )

Utilisation à mon avantage du refus amené par le garçonnet dans le but de lui faire réaliser l'action demandée tout en lui laissant l'impression qu'il confronte mon autorité et que je suis ainsi fortement déstabilisée par ses 93 cm de pure affirmation.

Ainsi, lorsque je lui dis que :

- je refuse de lui changer sa couche, il me dit qu'il veut la changer
(et il commence à l'enlever);
- je ne veux pas qu'il mange, il insiste pour manger;
- je ne veux pas qu'il s'habille ou se déshabille, le voilà qui commence;
- je refuse de lui mettre de la crème solaire, je le vois à la recherche de son tube;
- j'affirme que ce soir (ou ce matin), on ne se brosse pas les dents, on ne se lave pas les mains, on ne se peigne pas, il commence à me supplier pour faire toutes ces actions;
- je ne veux absolument pas le voir (quel mensonge), il arrive en courant;
- je lui enlève sa casquette, il la prend et la met tout de suite sur sa tête.

De la magie.

drôle d'endroit pour une sieste

J'ai souvent vu Loïc-Antoine dormir dans des endroits classiques propices au sommeil : son lit, sa chaise haute, sa poussette, dans la voiture.
Autant d'endroits communs pour piquer une sieste.
Ensuite, j'ai souvent vu (et je vois tous les matins) Loïc-Antoine dormir dans des endroits un peu plus flyés : sur le plancher de sa chambre et même coincé entre le mur et le lit. Je n'avais encore jamais vu Monsieur Ïc dormir sur la rue Papineau, au coin de Rachel, en pleine heure de pointe, dans son siège de vélo... Sur la route, je me demandais bien ce qui cognait dans le bas de mon dos. En me retournant, j'apperçois sa tête qui se balade, dans tous les sens. Son casque me heurtait, tel un clou qu'on enfonce toujours un peu plus loin. Et dire qu'il fut un temps où je dormais, moi aussi, partout, n'importe quand... (vraiment?)
Profite-en bien Ïc, ça ne passe qu'une fois dans une vie.

dimanche 10 juillet 2005

Regarde mon bobo, ça fait mal!
"Ok Mila, t'as peut-être vu des lamas, des lémurs et des flamands rose aujourd'hui au Zoo de Granby, mais tu ne verras jamais rien d'aussi impressionnant que le bobo que j'ai là, sur ma cheville (peut-être me prendra-t-elle en pitié et me donnera-t-elle un bisou pour me réconforter ?)"


Quelques heures plus tôt, dans la petite ferme.

vendredi 8 juillet 2005

Une petite liste des mots déformés par Loïc-Antoine que je me promettais de faire depuis longtemps. Sans intérêt pour votre lecture, mais je tenais à mettre tout ça ici puisqu'il s'agit d'un endroit tout désigné pour le faire.

coccinelle = mon cinelle
pyjama = ciléma
orange = oansse
pingouin = fafouin
ventilateur = sensilateu
pantouffles = taloutes (!)
regarde = gad maman
gros = gwos
oiseau = vaseau
poule = pule
maison = mizon
riz = i (je veux du "i")
jus = zus
cuillère = tillière
pantalon = talon
souliers = sallier
ketchup = sup
dinosaure = dosaure
casquette = cette
café = tafé
kangourou = gou-hou
lion = ion
mouton = poton/moton
singe = chinche
porte = pote
cerises = ises
carotte = k-otte
poisson = passon
chaise = chaiche
raisin = dazins
grenouille = denouille
lune = nune
papillon = apillon
bateau = pateau
train = tain
cochon = tochon
poupée = topée
tigre = tic
crayon = tayon
garçon = taçon
cartes= cates
brosse = bosse
livres = lif
couscous = cous
grand-papa = gwos papa
Rafaël = Fel
Mariella = My
Phillipe = Sélippe
Jérémie = Mémie
Karelle= Kallelle
Émmanuelle = Léla-uelle
Colombine = Lebine
Alexandra (Alex) = Less
Loïc-Antoine = Ïc-Anton
David = Dadid
Caroline = Calline

Il y a aussi tous les autres.

mercredi 6 juillet 2005

Certains jours, comme mardi dernier, on a l'impression qu'il ne se passe pas grand chose. Tellement que le seul haut fait de la journée réside en la satisfaction que vous procure la propreté des fenêtres que vous lavez. On se sent bien, on se sent valorisée, puis du même coup, complètement folle à l'idée d'être ainsi contentée par le résultat d'une telle action. Ce sont en général, je dois le dire, des journées comme celles-ci qui vous font remettre en question la necessité d'être en vacances pendant deux mois. On regarde autour de soi, tout le monde travaille ou va à l'école.
En fin de journée, on se demande bien quel était le but de ces heures perdues, sinon que de voir ses fenêtres parfaitement propres. En voyant les voitures (nombreuses), on constate qu'avant longtemps, on recommencera le même manège absurde.

Par contre, il y a des journées comme aujourd'hui où vous n'avez pas assez des 24 heures inscrites au calendrier pour accomplir tout ce que vous désirez. Vous voudriez que des journées comme celles-là se prolongent indéfiniment.

D'abord, vous vous levez et Audrey téléphone. Elle s'en vient. Puis, vers midi, vous vous demandez, juste après son départ, ce que vous ferez du reste de la journée. Vous partez au cinéma comme vous adorez le faire souvent les après-midi. Vous allez voir Christian, Raymond, Antoine, Zachary et Yvan, film québécois connu aussi sous le nom de C.R.A.Z.Y. d'où vous ressortez le sourire aux lèvres.
Ce film était bon.
Sur le chemin du retour, vous constatez que le quartier latin a bien changé depuis la dernière fois où vous vous y avez mis les pieds. Il serait temps de (res)sortir de chez vous un peu, de vous remettre au goût du jour. Bonne idée.

En arrivant à la maison, vous constatez que le téléphone sonne au même moment où vous ouvrez la porte. Vous savez que vous n'aurez pas le temps de vous y rendre et c'est d'ailleurs dans ces moments où vous comptez sur votre investissement mensuel dans une boîte vocale pour vous remplacer. 5 nouveaux messages. Tous pour vous.
On vous veut cet après-midi, avec soi. Or, l'après-midi tire à sa fin, dommage.
Vous partez chercher votre fils lorsqu'un dernier téléphone vous annonce une visite dans quelques heures. La perspicacité de votre conjoint de fait vous prédit le passage d'une cigogne prochainement.
Ah ouais ?? Ce serait donc 2 microbébés qui se logeraient au fond du baluchon puisqu'une de vos copines vous a fait part de cette même nouvelle plus tôt cette semaine
. Hypothèse confirmée. En fin de soirée, vous vous couchez, satisfaite de cette journée. Les retours d'appels ne sont pas encore faits, mais vous croyez que les 24 prochaines heures vous en donneront la chance.
Enfin, vous l'espérez.

mardi 5 juillet 2005

À qui le tour maintenant ?
La cigogne n'en finit plus de passer depuis quelques jours.

D'abord, elle s'est arrêtée chez Mélanie, à Québec, pour y déposer Étienne, le 1er juillet. Étienne est arrivé plus tôt que prévu, soit avec 7 jours d'avance.
Le prochain arrêt s'est effectué chez Catherine et Martin, à St-Colomban, pour y laisser Éloïse, le 3 juillet. Éloïse est elle aussi arrivée avec quelques jours d'avance, 5 jours, plus précisément.
Au fond de son baluchon se cache un dernier bébé mystère qui devrait faire son entrée chez Annie et Éric très très bientôt. Ce bébé mystère (que je crois fortement être un garçon...) est attendu autour du 10 juillet. Cependant, il semble que cette cigogne aime bien déposer ses petits trésors toujours plus tôt, comme pour Laurie-Anne qui a fait son apparition avec 2 semaines d'avance. Toi qui aimes les marathons Annie, qu'attends-tu pour t'élancer ?

ça roule

Ses connaissances sont de plus en plus étendues en ce qui concerne les camions et autres moyens de transport. Il reconnaît maintenant plusieurs types de vénicules sur roues :
- camion à ordures/camion de poubelles;
- camion de le lait;
- camion de pompiers;
- camion de patates (celui qui fait la livraison à la fruiterie à côté de la garderie);
- camion de "fuits" (fruits);
- amblance (ambulance);
- voiture de police;
- tracteur;
... et sûrement d'autres encore que j'oublie...

À noter, le plus mignon d'entre tous, le camion de bébés, véhicule non officiel dans lesquels les parents transportent leur(s) enfant(s). Cette désignation de Loïc-Antoine fait référence aux petites voiturettes que nous croisons au hasard des rues dans lesquelles petits et moins petits sont confortablement installés (souvent parmi quelques sacs d'épicerie).

lundi 4 juillet 2005


Pour ceux et celles qui se demandaient ce qui était en jeu au cours de la dernière semaine, la voici (en partie).
Je ne laisserai pas longtemps cette photo ici : je ne tiens pas à me torturer inutilement chaque fois que j'ouvrirai mon ordinateur...

À la question : "Mais comment se fait-il que vous n'avez pas réussi une telle manoeuvre ?" Sachez que nous étions deuxième acheteurs et que les premiers ont tout l'avantage de leur position. De la patience, il en faut beaucoup.

Du côté de Loïc-Antoine, il est arrivé dans la cuisine ce matin en courant très vite pour me dire qu'il voulait avoir une soeur.
"Veux une soeur moi Maman...." Je l'ai regardé et fait répéter au moins 5 fois.
Il est reparti aussi vite. En arrivant près de son père, j'ai tout de suite su de qui venait la formule. Cependant, l'idée fait son chemin...

samedi 2 juillet 2005

On va dans l'eau grand-papa ?

Les sorties n'en finissent plus ce week-end ! Nous sommes allés nous imprègner de l'ambiance festive qui règne au centre-ville depuis l'ouverture de la 26ième édition du festival de jazz.
En fin de soirée, nous nous sommes arrêtes devant les feux de l'Argentine. Notre petit garçon en a eu plein la vue, chantant "Bonne fête Loïc/Mila" en voyant le ciel illuminé par ces milliers de particules colorés.

vendredi 1 juillet 2005

Moi je veux les voir les cagnards!
Au Parc Lafontaine, une gentille dame invite Loïc-Antoine à nourrir
les canards avec elle...

Les petits canards sont bien contents de recevoir quelques miettes de pain si gracieusement offertes par Loïc-Antoine en cet après-midi de chaleur et d'humidité.

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