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mercredi 31 mai 2006

joli garçon, ooooh-la-la !
Avant de dormir, Loïc-Antoine craint le tonnerre et les éclairs.

Nous avons été frappé par un orage sur le chemin du retour. C'était la première fois que Loïc-Antoine était réellement conscient du tonnerre et il n'avait jamais vu de serpentins aussi lumineux dans le ciel. En premier, il était très impressionné et m'a bombardée de questions. Mais plus le tonnerre cognait, plus il devenait inquiet. Pour le rassurer, je lui ai dit que le tonnerre, c'était comme si un gros dinosaure faisait une belle promenade dans le ciel. Faute. J'aurais vraiment pas dû dire ça. Après, il voulait chercher le dinosaure partout et en plus, sa peur s'en ai trouvé augmentée. En parlant avec mon père au téléphone ce soir, il m'a demandé pourquoi j'étais allée lui dire une affaire de même au lieu simplement de me contenter de lui apprendre un nouveau concept : le tonnerre. En effet, tout simple. Alors j'ai expliqué le concept à fiston comme dans les livres, mais il n'a pas voulu me croire et après toute cette soirée de tonnerre, il se trouve que le sujet dinosaures est d'actualité plus qu'il n'en faut.

Cette peur s'ajoute à toutes celles survenues d'un coup depuis la semaine passée à l'heure du coucher. Voilà maintenant qu'il faut vérifier tiroirs et penderies pour les monstres, dessous de lits pour les tigres et derrière de toile de fenêtre pour l'ours grizzly. Je touve que cette peur est logée à un bien drôle d'endroit, mais que voulez-vous, c'est pas moi qui décide.

Pour terminer, une petite phrase que j'ai trouvé pleine de bon sens et bien à-propos dans le livre que je suis en train de (re)lire :

Lorsqu'on s'occupe des enfants, il faut beaucoup d'anxiété, docteur, sans ça, ils deviennent des voyous. -
Romain Gary, La vie devant soi

dimanche 28 mai 2006

bonne fête Grand-papa !

Jules on the road
"Mon Grand-Papa n'est pas comme les autres. " - Kaya, 8 ans.

Je viens de parler avec Kaya au téléphone. Je lui ai demandé les raisons pour lesquelles son grand-papa n'est pas comme les autres.
Elle m'a donné 10 raisons/explications. Les voici :

1. Il fait beaucoup de sports comme le vélo et le golf. Il fait beaucoup d'exercices dans son sous-sol. Il est vraiment en forme;
2. Tous les grands-papas restent la plupart du temps assis dans leur fauteuil, mais lui, il est énervé, il bouge beaucoup et partout;
3. Il se baigne au complet. Il met tout son corps dans l'eau, pas juste les pieds ou les jambes;
4. Il fait beaucoup de ménage, il aide beaucoup Grand-maman avec la vaiselle et la cuisine (on se demande ce qu'elle en pense...)
5. Il joue beaucoup avec nous à des jeux de société. Il joue aux échecs avec moi. Même s'il n'y a pas vraiment d'enfant dans sa maison, il a beaucoup de jeux;
6. Il raconte des histoires;
7. Il fait souvent des activités spéciales avec moi comme m'amener au Biodôme ou aller voir des expositions comme celle sur les dinosaures à Montréal l'été dernier;
8. Il fait beaucoup de surprises à tout le monde;
9. Il est très généreux et il nous donnne beaucoup beaucoup de cadeaux (vraiment beaucoup, tu veux dire !) ;
10. Il a toujours des choses intéressantes à raconter.

Voilà ! Ce sont ses mots, textuellement. J'ajouterais des milliers de remerciements pour tout ce qu'il fait pour nous ! La liste serait bien longue... Bonne fête, encore !. Et merci à Suzanne, du fond du coeur, de toutes ces petites et grandes attentions, pour le bonheur de tous.

*Sur la deuxième photo, on peut voir Kaya qui a réussi à avoir l'autographe de Steve Hill, qu'elle admire beaucoup. Steve, ami d'enfance de David, était lui aussi chez ses parents, voisins et amis des grands-parents.

vendredi 26 mai 2006

Voilà maintenant au moins deux heures que je mets à jour le blogue des élèves. Pour ceux et celles qui apprécient l'alliance du blogue à la pédagogie, sachez que les vidéos de février et de mars ont été modifiés. Nouvelle version améliorée. La fin d'année approche à grands pas, il faut donner un grand coup, question de donner aux élèves un maximum de souvenirs. Let's go.

mercredi 24 mai 2006

bulles sous le soleil
Lili et Lo font des bulles devant la maison.


Le retour du soleil (mon Dieu, enfin!), m'a apporté une énergie en laquelle je ne croyais plus. Si bien qu'en allant chercher Loïc-Antoine à la garderie tôt cet après-midi, j'ai également attrapé Lili sous mon bras. J'ai fait manger les p'tits à l'heure des poules et ensuite, on a tous filé au parc rejoindre Catherine (la maman de Lili) jusqu'à la tombée du soleil.

Hier, j'suis restée à Montréal pour passer un bout avec Émile. Elle m'a bien gâtée et sans raison : un bel arrosoir rose bonbon, des tasses à mesurer de toutes les couleurs et follement chouettes. De jolies choses pour la maison. Les cadeaux utiles ont ça de bien qu'à chaque fois que vous vous en servez, vous avez une petite pensée pour la personne qui vous les a offerts. C'est comme le cadeau d'Alexandra qui nous fait parler d'elle tout le temps, moi et Loïc-Antoine. Y'a comme ça, son prénom qui est lancé dans not'cuisine, tous les jours. J'trouve ça bien.

lundi 22 mai 2006

il ne m'écoute plus

Ces jours-ci, j'ai l'air de la parfaite mère qui n'a aucun contrôle sur son fils. Il ne m'écoute tout simplement pas. Ou pus pantoute. Je suis tannée. Je suis crevée. Et malade (la gorge en feu depuis 9 jours, mais le médecin me dit que c'est viral, mais moi je doute parce que je ne suis même plus capable d'avaler ou de tirer la langue, elle me fait trop mal). Je parle, ça me fait mal, donc je perds patience. Alors ça me rentre encore plus dedans de répéter plus de trois fois la même chose. Trois étant mon seuil critique - je m'assure toujours de ne pas m'y rendre - je pète les plombs de répéter 7-8 fois la même consigne. Non, mais ! J'me sens comme lorsque je commençais à enseigner et que je perdais le contrôle de ma classe, ça me crève ! Il me teste, fait le contraire de ce que je demande, me pose des questions dont il connaît toutes les réponses et m'ignore quand je lui demande quelque chose.
C'es-tu supposé d'être le fun ?

vendredi 19 mai 2006

j'ai souri aujourd'hui quand

  • Loïc-Antoine nous a intterrompus pour dire : "Attendez, moi, j'ai quelques questions à vous poser !" Le choc du grand garçon.
  • Loïc-Antoine a saisi un spaghetti coincé entre sa cuisse et son siège et a dit : "Oh-oh ! Moi je pense qu'un spaghetti m'a attrapé !"
  • Une élève m'a saisie par le bras alors que je quittais l'école et a dit à l'autre élève avec qui elle se chicanait : "Tiens, ELLE, elle va le régler notre problème ! "
  • Loïc-Antoine a dit qu'on pouvait voir des tigres au zoo, en Afrique, à la télévision et dans le gazon aussi.
  • Loïc-Antoine m'a dit en arrivant à la maison qu'aujourd'hui, ce n'était vraiment pas une bonne journée pour lui à la garderie.
  • Une élève s'est approchée de moi et m'a avoué que j'avais l'air tendu et que j'aurais besoin d'un bon massage (je prends note).
  • J'ai tenté de démêler avec Loïc-Antoine la signification des mots coussin, cousin et poussin. Pas réussi.
  • David a dit à Loïc-Antoine : "Regarde-moi bien dans les yeux mon fils, je vais te dire quelque chose de très important pour le reste de tes jours : Winniedepou, c'est un gros con." Et Loïc-Antoine de répondre : "D'accord Papa, Winniedepou, c'est un gros con."
  • Je souris à nouveau en fermant les yeux et en (re)pensant au #8 ci-dessus. Ah la la, ce père, ce PÈRE !
  • Je termine d'écrire ceci et je pense que je m'en vais rejoindre mes hommes dans leurs couvertures, allongés devant un film pourenfant avec une montagne d'oreillers. Tout de même, je demeure lucide : j'aimerais mieux regarder ze film qu'on a pris pour nous au lieu de m'endormir devant vers 23 h, parce que ma vie, maintenant, elle ne franchit plus jamais ce cap.

lundi 15 mai 2006

Dans le sentier à côté de la maison.
Nous étions seuls dehors ce soir.
La température était maussade, mais la lumière, intéressante.

Hier, c'était la Fête des Mères. Le jour de l'année où le plaisir partagé d'être maman se fait entendre de partout. Pour moi, c'est aussi un autre moment où, année après année, je pense à la mienne un peu plus fort qu'à l'habitude.
Huit Fête des Mères depuis son départ.

Un joli souvenir que je garde de mon enfance auprès d'elle est le petit rituel qu'elle accomplissait chaque jour de la semaine, aux alentours de quatre heures de l'après-midi. À ce moment, elle m'amenait avec elle dans la salle de bain et se maquillait. Longtemps. Gamine et ignorante que j'étais, je posais toujours les mêmes questions, à savoir à quoi pouvait bien servir ces crayons, tous ces pinceaux et surtout, la nécessité d'avoir trois taille-crayons dans la trousse. Elle répondait rarement à mes questions, bien trop concentrée sur son travail, sa métamorphose. Moi j'étais là, assise par terre à la regarder, en contre-plongée. Je m'assoyais aussi parfois sur le bord du bain et j'attendais, j'admirais le travail. Souvent, elle changeait de vêtements aussi. Elle enfilait une jupe, changeait le haut et se scrutait dans tous les sens. Je crois bien qu'elle finissait, en bout de ligne, satisfaite du résultat.

C'était mon tour.
Ce n'était pas long.
Elle me mettait du rouge à lèvres et me passait le fard sur les joues.
En général, j'étendais le rouge à lèvres partout autour de ma bouche en roulant trop mes lèvres ensemble.
Je ne changeais pas de vêtements.
Prêtes, nous attendions les cinq heures.

Puis, cinq heures arrivaient et ramenaient avec elles mon père du travail. Dès qu'il ouvrait la porte, ils s'embrassaient. Puis, il se penchait et m'entourait de ses bras, m'embrassait aussi. Je pense bien qu'il devait alors compter parmi les hommes les plus heureux en ville de trouver un mannequin et un clown dans sa maison.

samedi 13 mai 2006

L-Antoine : "Maman, je sais pourquoi il y a des étoiles de mer."
Moi : "Ah oui ? Et pourquoi ?"
L-Antoine : "Parce qu'elles sont tombées du ciel."

jeudi 11 mai 2006

26 décembre 2003 - 11 mai 2006

Nous avons eu la chance d'avoir un rendez-vous d'urgence chez notre dentiste. J'étais contente et bien énervée de voir Loïc-Antoine perdu dans ce grand fauteuil. Pour sa part, il s'est tout de suite senti à l'aise et comme à la maison dans le cabinet. Il était ravi de raconter l'histoire de la dent qui noircit de jour en jour à notre dentiste :

Moi, quand j'étais petit, je suis tombé et...
On a procédé à l'examen, touché la petite dent sensible. Et puis, comme de fait, le verdict est tombé : la dent est morte. Elle restera tout de même en bouche jusqu'au moment où elle tombera d'elle-même, ce peut être avant les autres, ou non.

Incisive centrale droite, aka "palette à drette", tu fus des nôtres pendant 2 ans, 4 mois et des poussières. Tu fis la joie de David lorsqu'il te découvrit, le 26 décembre 2003 (bon, j'ai fouillé dans le livre de bb). Aujourd'hui, le pavé devant notre nouvelle maison t'a rappelée à lui. Malgré que ta blancheur ait fait place à un gris rappelant les jours de pluie où l'on se retrouve en sandales et sans parapluie, Loïc-Antoine est maintenant très fier de t'afficher à tous les passants.

Il en est d'ailleurs le seul en ce moment.

mercredi 10 mai 2006

Je sais que les dents de lait sont fragiles. Très fragiles. Depuis ses six mois, moment où il a commencé à ramper, mon fils ne cesse de bouger. Actuellement, il ne tient pas en place. Il court partout. Si bien que j'étais contente de constater que malgré toutes les chutes encaissées, ses petites dents de lait dans sa petite bouche, laquelle, pour sa part, ne cesse de jacasser à longueur de journée, soient encore intactes. J'étais même surprise d'apprendre que son amie Simone, intellectuelle de haut niveau, avait perdu ses deux palettes en tombant. Pour sa part, Mila avait dernièrement, elle aussi, chuté, une bouteille de verre à la main (prise en cachette) et avait cassé une large partie de sa palette droite.
Moi je me disais : "Fiou, mon fils cascadeur est épargné."
Il semble bien que non.
Il y a environ 2 semaines, Loïc-Antoine est tombé visage premier sur l'asphalte. Je devrais plutôt dire "palettes premières en plongeant à vive allure sur le pavé dans le seul but d'attraper le ballon en premier" (y'en a marre, en passant...). J'ai vu les petites dents cogner fort, le sang gicler. Tout de suite, j'ai pensé : "Ses dents, non !" Lorsqu'il m'a retrouvée, je l'ai consolé et j'ai vite essuyé le sang qui se répendait partout dans sa bouche. L'incident était clos. Elles étaient intactes et entières.
Mais là.... il faut se l'avouer, sa petite palette de droite commence à noircir. Est-elle morte ? Demain, je m'empresserai de contacter mon dentiste pour un examen...

Bien que je sois très attristée par cette situation, que je n'aime vraiment pas cette dent grisâtre, je pense qu'avec Loïc-Antoine, il fallait s'y attendre. Et puis je me dis qu'avec cette dent en moins, si tel est le cas, il aura l'air encore plus tannant (mais je croise tout de même mes dix doigts et autant d'orteils en espérant me tromper). Merde.

lundi 8 mai 2006

pensées sur des photos

En regardant ces deux photos ce soir, j'ai pensé deux ou trois choses sur chacune d'elles.

La première photo :
pissenlit
1) Si j'avais voulu que Loïc-Antoine prenne la pose pour cette photo, je n'aurais pu faire mieux;
2) J'aurais aimé le boisé qui se trouvait juste derrière moi en arrière-plan de cette photo;
3) J'aurais dû prendre la photo de l'autre côté, mais j'aurais eu le dos de Loïc-Antoine en photo. C'est donc le boisé qui aurait dû changer de côté;
5) À quoi pense Loïc-Antoine avec sa petite fleur dans les mains ?

La deuxième photo :

1) Il a l'air VRAIMENT fier sur son nouveau vélo;
2) Saura-t-il se servir prochainement du frein à main au lieu de planter ses talons sur l'asphalte pour s'arrêter (ou bloquer les pédales vers l'arrière) ?
3) Combien de fois tombera-t-il de ce vélo ?

Et la chose la plus importante à laquelle j'ai pensé en voyant cette photo fut de me dire à quel point nous étions heureux dans notre nouvelle maison, notre nouveau quartier et Loïc-Antoine, épanoui par tous ces changements.

dimanche 7 mai 2006

pissenlit
C'est une belle journée aujourd'hui, mais il fait froid pour la saison.

samedi 6 mai 2006

essouflée

cours Maman!
Depuis une semaine, voilà maintenant qu'il me faut courir derrière Loïc-Antoine parce qu'il file à toute allure par delà les rues du quartier. En effet, alors qu'Annie nous rendait visite la semaine dernière, nous avons approché un voisin éloigné qui faisait le ménage de son garage. Croyant assiter là à une vente, nous l'avons abordé et j'ai, pour ma part, fait l'acquisition de ce splendide bolide à petites roues qui fait le bonheur du petit garçon. N'ayant jamais été utilisé, je crois avoir fait une excellente affaire, il est encore tout neuf (les étiquettes y étaient encore collés).
Depuis, je cours plus que jamais.

jeudi 4 mai 2006

c'est déjà fini

Aujourd'hui, l'élève amoureuse est venue me voir sur la cour de récréation. D'abord hier, j'avais promis que ses palpitations cardiaques dédiées à ce Prince aux Bois Dormants seraient notre petit secret et que jamais je ne la trahirais. Confiante, elle était repartie, avec tout l'amour du monde pour ce garçon. Mais aujourd'hui, c'était la fin de l'épopée amoureuse, déjà. "Nous sommes deux filles à être amoureuses de lui. Moi, je ne veux pas le partager, alors je ne l'aime plus." Vérification faite, son coeur battait normalement. Rien ne pouvait plus faire chanter le petit oiseau sous la paume de ma main sur sa poitrine. Même la répétition du prénom n'y changeait rien. "C'est comme ça pour toi alors, un jour tu aimes et le lendemain, c'est déjà la fin ?", lui ai-je demandé. "Oui, c'est simple comme ça pour moi", m'a-t-elle dit en s'éloignant, avec le plus beau sourire du monde.

mardi 2 mai 2006

quelque chose qui m'a touchée

Aujourd'hui en classe, j'ai approché une élève que je soupçonnais amoureuse d'un garçon. Depuis quelques temps déjà, ils s'échangeaient des regards et surtout venant d'elle, je n'étais nullement surprise, puisqu'étant plus agée que les autres, il m'apparaissait normal, voire même banal que cela se produise. En lui demandant en cachette si mon hypothèse s'avérait véridique, elle a tout nié. Mais, avant qu'elle ne parte pour la maison, je l'ai reprise à l'écart et lui ai répété à l'oreille le prénom de ce garçon. Ensuite, j'ai posé ma main sur sa poitrine.
Son coeur battait à toute vitesse et très fort. J'ai souri et elle aussi.
Elle a fermé les yeux, a baissé sa tête.
Ensuite, elle m'a regardée en disant : "Maintenant, je ne peux plus rien vous cacher". En partant vers la maison, j'ai pensé qu'un jour viendrait où probablement, le coeur d'une petite fille batterait à toute vitesse et très fort pour mon grand garçon. Je me suis demandé qui était cette petite fille, où elle se trouvait en ce moment, si elle était née, ou non.
J'étais très émue.

lundi 1 mai 2006

Mila, trois ans déjà !


Hier, nous sommes allés chez Audrey et Marc pour souligner l'anniversaire de Mila.
Trois ans déjà ! Et dire que lorsqu'ils n'avaient pas encore un an, nous (surtout moi je pense...) nous demandions si ce jour viendrait...
Bravo à Audrey qui, comme toujours, avait déployé beaucoup d'efforts pour tous les invités.
Bonne fête encore jolie Mila ! Loïc-Antoine a bien hâte de te revoir dans sa piscine (ce sont ses mots...).

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