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mardi 5 février 2008

Il n'y a pas que moi qui passe des journées de fous :

Hier, David a décidé de retourner à la clinique médicale pour la réaction allergique aux bras et aux jambes de Loïc-Antoine. Il a d'abord essayé la clinique médicale la plus près de la maison, mais l'urgence était pleine et il n'y avait plus de stationnement. Ensuite, il s'est rendu à la Clinique médicale pour enfants de Longueuil. Face à la porte, il a lu : "Merci de téléphoner entre 8 h 30 et 9 h pour prendre un rendez-vous." À sa montre, il était 8 h 50. Il a sorti son cellulaire, mais il était déchargé. Il s'est donc rendu au centre commercial situé à proximité pour téléphoner. Le temps qu'il stationne, trouve une cabine téléphonique et réussisse à avoir la ligne, tous les rendez-vous étaient donnés pour la journée. David, qui était dans le Vieux Longueuil à ce moment, a pensé qu'aller voir le pédiatre de Loïc-Antoine sur le Plateau Mont-Royal serait la meilleure chose à faire puisque normalement, il reçoit ses patients en urgence pendant la matinée. Le stationnement sur la Plateau a été pénible (20 minutes) et lorsqu'il est arrivé à la porte de la clinique du Dr. Carle, cette inscription : "La Clinique médicale est définitivement fermée." Plus de pédiatre, donc.
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David est revenu à la maison en passant par la clinique la plus proche de la maison, mais il n'y avait toujours pas de place. Il s'est donc rendu à la clinique médicale Ste-Hélène, en prenant soin de téléphoner avant, pour savoir s'il y avait des places disponibles : "Oui, si vous venez tout de suite." Le temps qu'il arrive, cette affiche dans la porte : "Complet". La réceptionniste l'informe que même s'il a téléphoné, sa place n'était pas assurée et que maintenant... 32 patients devaient passer avant lui.

David est finalement revenu à la clinique médicale la plus proche de la maison. Il a eu un ticket, 7 patients devant lui. 2 heures plus tard, il avait une prescrition sous la main pour une crème à base de cortisone : c'est une dermatite.

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