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mardi 8 novembre 2005

des psychoconducteurs (et qui ne le savent pas)

J'ai eu droit à une crise énorme en revenant de la garderie ce soir. Pas de chance avec la zoothérapie habituelle, aucun chien n'était présent dans le parc au retour. Au grands maux les grands remèdes, j'ai opté pour ce que j'appelle la lourdothérapie, soit l'observation continue de véhicules lourds à une intersection passante de la ville (Iberville/Saint-Joseph).
Il faut y mettre du coeur et une quantité infinie d'exclamations pour faire cesser la crise à la vue des poids lourds. Et ça fonctionne très bien.
L'ennui avec la lourdothérapie, c'est qu'aussitôt l'intersection franchie, le véhicule poursuit son chemin.
À la sortie du champ de vision de fiston, la crise reprend de plus belle.
Chiens, où que vous soyez, revenez !

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