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lundi 3 octobre 2005

Quatre jours de retard au club vidéo. 20$ pour une location. Ce n'est pas faute d'avoir essayé. Lorsque je loue un film et que je m'attarde à le choisir, c'est que j'ai l'intention de le regarder. Pourtant, tous ces soirs où j'ai tenté de le regarder, je m'suis endormie à tous coups. Écran noir puis, réveil sur musique en boucle du menu principal. Je tire une leçon de ces quatre soirs : ne pas louer de film lorsque je travaille le lendemain.
En allant porter mon film samedi, j'en ai loué un autre en me disant qu'on était en plein week-end et que cette folie (on a plus celles qu'on avait) m'était permise.
Dodo sur le divan, encore une fois.
Dimanche. Comme j'aime bien regarder Tout le monde en parle, je m'installe pour visionner les 30 dernières minutes. Je ne les ai jamais vues.
Je pense que je suis crevée (on est pas juste lundi ?)...

Dans le monde merveilleux de Loïc-Antoine, je m'suis délectée lorsqu'en arrivant par la ruelle à la garderie ce soir, je l'ai apperçu, à l'écart de tous, en retrait, tout triste. Il était en punition, ce que j'avais deviné. Monsieur ne veut pas partager ses jouets avec les autres. Avant d'entrer, j'ai ri un bon coup (je l'espionnais, il ne pouvait pas me voir). Lorsque j'ai repris mon sérieux, je suis entrée dans la cour et sa gardienne m'a expliqué la situation.
On a discuté ensemble de ce GRAND concept qu'est le partage. Il m'écoutait, attentivement.
Puis, je lui ai demandé, en fin de discussion : "On prête maintenant?"
Une réponse à placer tout droit dans les archives : "Oui, les amis vont prêter à Loïc-Antoine maintenant."

Je fonds (p'tit maudit p'tit garçon !)

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