Le Festival des énormités continue !
Aujourd'hui, à l'école, l'éducatrice du service de garde s'adresse au groupe et dit : "Allez, on se dépêche, sinon, nous n'aurons pas le temps de jouer !" De sa place dans le rang, Loïc-Antoine lui répond : "Ben, accélère !" L'éducatrice lui dit, abasourdie : "Parrrrrddddon ?" Et il répète : "Je t'ai dit : Accélère !"
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Il a été grondé et privé de jouer. Je me trompe peut-être, mais je pense que les éducatrices et le prof de Loïc-Antoine apprécient que je sois 150% derrière elles. Au début de l'année, j'ai tenté de cacher que j'étais orthopédagogue. Lors des premiers jours, une éducatrice m'a dit : "Est-ce que vous êtes une intervenante ?" On m'a démasquée par la façon dont je parlais aux petits sur la cour de récréation lorsque je venais chercher Loïc-Antoine.
J'ai toujours dit aux intervenantes que je serais toujours derrière elles, étant moi-même intervenante. Elles apprécient, ne se gênent pas et c'est tant mieux ! On a bien ri dans le dos de Loïc-Antoine malgré tout ! (il se sauve toujours lorsqu'il me voit parler avec son éduc et me regarde au loin, le regard en coin., en faisant semblant de jouer avec ses amis...)
Bref. Il pousse trop fort sur les réponses. Depuis cette semaine, je tente de mettre un peu de Caro K. en moi et l'envoie réfléchir immédiatement dans sa chambre, dès qu'il répond bêtement. Je lui ai également raconté qu'une certaine Kaya G. s'était déjà couchée à 18 h 30 pour avoir répondu à sa maman.
Loïc-Antoine a vraiment peur de sa tante....;)
publié par caroline @ 8:06 p.m.
commères du village : 1
