
Allez comprendre ce qui lui trotte dans la tête. Pour souligner la fête de gros-papa, on a d'abord envoyé un courriel très très tard hier soir. Comme ça, en arrivant à son bureau ce matin, il a pu voir son ultra tannant photographié ci-contre. Les séances de peinture finissent toujours pas se transformer en body painting, comme celle-ci où après avoir terminé la carte pour mon père, il s'est mis à danser en lui chantant "Bonne fête". C'est plus fort que moi, je l'avoue, je suis toujours l'initiatrice du body painting.
Je commence toujours par une attaque violente au thorax. Il s'occupe par la suite du reste (et de moi !).
Avant d'aller dormir, Loïc-Antoine a téléphoné mon père pour lui chanter "Bonne fête" et lui parler un peu. Monologue pendant toute la durée de l'appel : il nomme tout ce qui l'entoure, parle de ses ami-es et utilise une quantité infinie de non-mots. Après cinq minutes remplies de "ah ouais ?" de la part de mon père, le plus souvent, Loïc-Antoine raccroche.
Désolée gros-papa, je crois bien que Loïc-Antoine n'a pas encore saisi le sens des mots conversation téléphonique...