Le garçon fougueux
adj. Qui manifeste de la fougue. D'une ardeur impétueuse ; élan enthousiasme (Larousse 2008). Qui entretient la santé cardio-vasculaire de ses observateurs (Caroline 2009).
dimanche 25 novembre 2007
lundi 19 novembre 2007
l-a : Hummm, j'aime vraiment ça quand tu fais du chili Maman...
m : ah oui ? c'est gentil, merci...
l-a : en plus, il goûte exactement comme ta ratatouille...
m : ...
l-a : Hummm, en plus, le poisson que t'as mis dedans est dé-li-cieux !
m : Tu sais, une façon de me montrer que tu aimes mon chili serait d'en manger un peu...
l-a : oui, mais j'aime pas tous ces légumes noirs que t'as mis dedans. C'est du chocolat ou quoi ?
m : oui, j'ai mis du chocolat dans la ratatouille au poisson...
l-a : ah, c'est cool, alors bon appétit !
m : ah oui ? c'est gentil, merci...
l-a : en plus, il goûte exactement comme ta ratatouille...
m : ...
l-a : Hummm, en plus, le poisson que t'as mis dedans est dé-li-cieux !
m : Tu sais, une façon de me montrer que tu aimes mon chili serait d'en manger un peu...
l-a : oui, mais j'aime pas tous ces légumes noirs que t'as mis dedans. C'est du chocolat ou quoi ?
m : oui, j'ai mis du chocolat dans la ratatouille au poisson...
l-a : ah, c'est cool, alors bon appétit !
mercredi 14 novembre 2007
Je suis tellement crevée que je n'ai aucune énergie pour écrire quoi que ce soit. Les journées filent à une vitesse que je n'ai jamais connue avant, les mois passent et je ne vois rien. Ce soir, dans une pile (grosse) de papiers, j'ai retrouvé un "to do" - août 2007. Surprise, rien n'est encore fait.
Loïc-Antoine a hérité de l'un de mes gènes prédominants : parler, parler, parler...... sans cesse, sans cesse.
Tellement, que ce soir, son éducatrice m'a demandé si nous vivions un changement à la maison. Elle doit souvent le mettre seul à une table au dîner, loin des autres, car il parle sans arrêt, tellement, qu'il n'avale rien de son dîner.
(Mais qu'est-ce qu'il peut bien raconter.....?)
J'ai fait un deal hier avec lui : une bouchée, une phrase.
Cette règle, il l'a (évidemment) dit à son éducatrice et il l'a appliqué à la lettre ce midi. Le prob, c'est qu'il n'arrête pas de dire : "Tu vois, je prends une bouchée et ensuite, je dis une phrase, mais tu sais, cette phrase-là ne compte pas vraiment parce que ce n'est pas la phrase que je voulais te dire. En fait, la phrase que je voulais dire, c'est que...." et bla-bla-bla."
Le pire, c'est que je sais exactement ce qu'elle veut dire : parfois, j'en suis tellement étourdie, je dois lui demander de faire une pause. Et lui, ajoute : "tu ne veux plus que je parle ? j'ai plus le droit de parler....! mais...! comment ça j'ai plus le droit de parler.... ? c'est quand que je pourrai reparler ? dis-le moi Maman, dis-le moi..."
Et est-ce que j'ai mentionné que souvent, il ouvre souvent la porte de la maison pour raconter aux passants ou aux voisins ce qu'il a fait de sa journée ou ce qu'il fera plus tard ?
Bon. Mon père dira que c'est un juste retour des choses : difficile à table et commère du village.
Alors : c'est un juste retour des choses.
Loïc-Antoine a hérité de l'un de mes gènes prédominants : parler, parler, parler...... sans cesse, sans cesse.
Tellement, que ce soir, son éducatrice m'a demandé si nous vivions un changement à la maison. Elle doit souvent le mettre seul à une table au dîner, loin des autres, car il parle sans arrêt, tellement, qu'il n'avale rien de son dîner.
(Mais qu'est-ce qu'il peut bien raconter.....?)
J'ai fait un deal hier avec lui : une bouchée, une phrase.
Cette règle, il l'a (évidemment) dit à son éducatrice et il l'a appliqué à la lettre ce midi. Le prob, c'est qu'il n'arrête pas de dire : "Tu vois, je prends une bouchée et ensuite, je dis une phrase, mais tu sais, cette phrase-là ne compte pas vraiment parce que ce n'est pas la phrase que je voulais te dire. En fait, la phrase que je voulais dire, c'est que...." et bla-bla-bla."
Le pire, c'est que je sais exactement ce qu'elle veut dire : parfois, j'en suis tellement étourdie, je dois lui demander de faire une pause. Et lui, ajoute : "tu ne veux plus que je parle ? j'ai plus le droit de parler....! mais...! comment ça j'ai plus le droit de parler.... ? c'est quand que je pourrai reparler ? dis-le moi Maman, dis-le moi..."
Et est-ce que j'ai mentionné que souvent, il ouvre souvent la porte de la maison pour raconter aux passants ou aux voisins ce qu'il a fait de sa journée ou ce qu'il fera plus tard ?
Bon. Mon père dira que c'est un juste retour des choses : difficile à table et commère du village.
Alors : c'est un juste retour des choses.
lundi 5 novembre 2007
vendredi 2 novembre 2007
Loïc-Antoine et son petit chef Rémy, dans la poche de son tablier.
Brièvement, avant que je tombe endormie sur ce clavier d'ordinateur... :
- Mardi soir, Loïc-Antoine cuisine avec moi des petits gâteaux pour tous les amis de son groupe.
- Mercredi, 8 h 45, il fait une entrée remarquée avec son costume et ses petits gâteaux.
- Mercredi, 16 h : Mila entre à la garderie chercher Loïc-Antoine.
- Mercredi, 16 h 30 : Tout le monde est de bonne humeur et se prépare pour la belle soirée.
- Mercredi, 18 h 30 : Départ dans les rues du quartier. Une maison fait réellement peur à Loïc-Antoine : toutes les lumières sont éteintes et des cris lugubres proviennent du garage, ouvert et noir. À l'entrée, la porte s'entrebaille. Une main ornée de gants noirs et de griffes rouges apparaît et dépose un sac à surprises dans le sac de Loïc-Antoine. Seule cette main sort à la hauteur du visage de Loïc-Antoine. La porte se referme, puis, s'ouvre de nouveau pour frôler délicatement son visage. Terrorisé, Loïc-Antoine revient sur ses pas, livide et se tenant la joue. TROP drôle !
- De retour à la maison, les petits dérobent leurs bonbons : suçons - chips - chocolats - gommes.... et évidemment, ils ne mangent rien du souper.
- Preuve que les petits sont au sommet du bonheur, on les retrouve dans la chambre d'amis à manger des chips sous les couvertures...