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vendredi 30 septembre 2005

J'ai passé la soirée en tête à tête avec mon fils hier. Nous avons fait une masse de trucs, dont quelques petites brassées de lavage. Je ne sais pas à quel moment mon fils est allé jeter sa pull up dans le sac de lavage destiné audit lavage, mais toujours est-il qu'une pull-up s'est infiltrée dans le sac.
Wow.
C'est impressionnant une pull up remplie à peine capacité. Surtout quand elle fend et que son contenu, un gel (que j'appelle le multi-gel étant donné les multi-petites-billes), se répend partout sur votre linge, sans se dissoudre dans l'eau. Amusant. À ce constat, rien ne sert de rouspèter. Il faut RE-commencer (et rire aussi un peu, ça aide à 22 h 40 quand le lendemain, le travail vous attend.)

Ce même soir, j'ai aussi eu droit à une bouffée de fraîcheur quand j'ai voulu prendre le pyjama de mon fils dans son tiroir et que j'y ai découvert une VIEILLE pull up pleine de pipi fermentée à souhait. Bien failli tomber à la renverse.

Demain : petite leçon en vue sur l'entreposage des pull up (une vraie prof.)

mardi 27 septembre 2005

Je me demande combien de fois par jour je dis ces phrases : "Vite, chuis pressée... / J'ai pas l'temps chuis pressée... / Faut j'y aille chuis pressée... / Ciao, chuis pressée... "
Mais ce soir je dis : "Non Madame. Du calme."
Tu t'es levée à 5 h ce matin et t'es partie à 6 h 35 parce que t'étais pressée. Vite le bisou dans le cou de Licou. T'étais pressée. T'as couru toute la journée puisqu'à l'école, oui, ô surprise, t'étais pressée.
Ce soir, t'as presque pas vu ton fils. Il fallait travailler.

"Vite vite Loïc-Antoine, chuis pressée.... "

Non. Pas ça. Cette fois, le bateau, je vais le regarder tranquillement passer. Et ce sera sans moi. On est beaucoup mieux dehors que dedans.

dimanche 25 septembre 2005

Flickr

Ce soir, j'ouvre ma boîte à photos.
* en cliquant sur chacune des photos, vous aurez une petite description de celles-ci.

mercredi 21 septembre 2005

Ce soir, on sort

Un gros câlin
Deux poids, deux mesures -

Cette photo n'est pas géniale, mais je la trouvais trop comique pour ne pas la publier. Loïc-Antoine n'est pas seul sur cette photo. Regardez bien de chaque côté de ses hanches, vous verrez les petits bras de sa petite princesse, étouffée par le débordement d'enthousiasme de mon fils à l'idée de passer la soirée en sa compagnie.
En route pour les mauvais coups !

Un cornet à la fraise



19 h 30. Et si on allait leur acheter une glace juste avant le dodo ? Ouep !
Tout ce sucre a fait de mon fils un petit énervé qui m'a tenu compagnie très très tard...
Vive la vie !

mardi 20 septembre 2005

brèves de comptoir

Deux sans eux
On a rien pour rien. Il faut passer à travers les effets secondaires. Et je vais le faire.
Entre 7 et 14 jours. Ensuite, ce sera moins pire. Come on.

C'est commencé
Depuis environ deux semaines, kourquoi est débarqué chez nous. Kourquoi ci, kourquoi ça, non, je ne crois pas qu'il y aura une sortie prochaine à ce bois.

Ensemble
C'est nouveau ça, de spécifier pour Loïc-Antoine qu'il tient à faire une activité "ensemble". "On joue ensemble, en-sem-ble." ou encore "Je veux aller dehors ensemble..."
Toutefois, la formulation reste à parfaire, y'a un paradoxe sur la dernière.

Bientôt, ici
Vous connaîtrez mes élèves. Tant pis si vous êtes pas intéressé-es, eux, ils/elles le sont.
Un nouveau blog, tout beau, tout frais, sur une autre partie de ma vie : l'école.
* pour les inquiets, oui, les parents ont tous signé.

------ fin des brèves (ou elle tombe de fatigue, au choix).

dimanche 18 septembre 2005

Depuis une semaine, je regardais mon petit flacon se vider. Je me demandais si je retournerais en acheter. Et puis après avoir pesé les pours et les contres, j'ai constaté que ça pesait plus du côté de : "t'en as assez pris maintenant, ça fait 25 mois que t'es là-d'ssus, arrête".
GO. Alors je go.



En marchant cette après-midi avec Loïc-Antoine, je l'ai imaginé en train de pousser plus petit que lui.
C'était bien de penser à ça.


jeudi 15 septembre 2005

on le remarque

Émilie qu'elle s'appelle. Pas mon amie Émilie, une autre. Il l'a rencontrée hier, dans un café. C'est là qu'elle travaille, Émilie. Elle s'est d'abord approchée de mon fils pour lui demander un dessin en guise de cadeau d'anniversaire. Alors mon fils lui a fait un dessin en guise de cadeau d'anniversaire.
conversation avec Émilie (tasse-toi Maman !) Émilie et un coeur, bonne fête - fut le titre de son dessin. Il lui a remis et lui a demandé un câlin. Je dois dire que je n'avais jamais vu Loïc-Antoine en telle opération de charme (et je l'ai vu souvent opérer) : énoooorme câlin, looong bisou, petites tappes d'encouragement dans le dos, tête couchée sur son épaule... S'en ai suivi une série de mini-courses folles dans le café entre Émilie et Loïc-Antoine, puis d'une quinzaine de "Milie ? T'es où Milie ? "
et de "Moi je veux la voir Milie, bye Maman !" ... pendant tout le temps que nous y sommes restés. Depuis hier, il me demande Milie. Il est vrai de dire que cette fille a tout de la fille sympathique, pleine de vitalité, enjouée et de bonne humeur. Dommage qu'elle ne soit pas gardienne.... Pas grave, celle qui s'en vient est imbattable (et le mot est juste). On en reparlera.
* faites glisser votre souris sur la photo...

mercredi 14 septembre 2005

Fionette



Nouveau centre d'intérêt pour Monsieur Ïc, voici Fiona, alias Fionette (je ne comprends pas cette appellation de la part de mon fils). Elle compétionne maintenant son aînée, Colombine, dans le coeur de Loïc-Antoine.
Rassure-toi Le Bine, Loïc-Antoine commence à peine à vous différencier.
Mais si j'étais toi, je rappliquerais vite fait puisque ce soir, il n'a de mots que pour Fionette...

dimanche 11 septembre 2005


Le nouveau dada de Loïc-Antoine : sauter, sauter, sauter.

Quand je l'ai vu s'élancer de son perchoir (2 pieds d'haut), j'ai failli crever. Puis, David m'a rassurée sur cette nouvelle aptitude et j'me suis calmée.
Il l'a entraîné en mon absence. Voilà donc ce qu'ils font au parc, quand je n'y suis pas. Devrais-je être étonée ?
Récemment, j'étais avec mon amie Émilie. Elle m'a raconté qu'elle avait vu les résultats d'une étude qui affirmait que les mères de garçons (et uniquement de garçons) mourraient en moyenne beancoup plus jeune que celles qui n'avaient eu que des filles. Le stress vécu par ces mères voyant leur(s) garçon(s) dans toutes sortes de situations casse-cou tout au long de leur vie raccourcierait la leur de quelques années. Et moi qui ne désire que des garçons...

vendredi 9 septembre 2005

Il semble que Loïc-Antoine et Mila se soient réconciliés. Ce soir, il lui a envoyé un long bisou et lui a souhaité une "Bonne nuit Belle Mila".
Alors Mila, si t'étais pas au courant, vous étiez en chicane, mais là, c'est réglé (Loïc-Antoine t'a pardonnée !).

jeudi 8 septembre 2005

autour du lit, on murmure

Il m'avait bien fait fait rire quand il m'avait affirmé que les bosses du chameau étaient des bottes. Ce soir, l'identification des cornes du rhinocéros (vues de profil) ont elles aussi été ardues.

l-a : il est gros le céros.
c : Ouais, t'as vu ce qu'il a ici (et je pointe) ?
l-a : oui, des grosses bananes, Maman.

(C'est fou ce que des défenses dessinées de côté peuvent parfois vous induire en erreur).

Dans la chambre de Loïc-Antoine, on s'est fait un "murmure des célébrités". Sur ce mur mur se trouvent les photos de tous ses ami-es et de toutes les personnes qui comptent le plus dans sa vie. Chaque soir avant d'éteindre la lumière, il envoie un bisou à chacun (et raconte aussi des anecdotes incompréhensibles liées à chaque personne qui n'en finissent plus). Ce soir, il n'a pas voulu envoyer de bisou à Mila.
Malgré mon insistance, il a refusé, encore et encore.
Première chicane de couple (?)

mercredi 7 septembre 2005

Aujourd'hui, c'est l'anniversaire de mon père. Le gros-papa de Loïc-Antoine. C'est comme ça qu'il l'appelle : gros-papa. C'est vraiment mignon, d'autant plus qu'il appelle ses deux grands-papas comme ça.
Dancing baby plein de peinture. Par conséquent, toute la famille a commencé à le faire. On a aussi suivi Loïc-Antoine dans sa façon de nommer ses grands-mamans. Gros-maman.
Allez comprendre ce qui lui trotte dans la tête. Pour souligner la fête de gros-papa, on a d'abord envoyé un courriel très très tard hier soir. Comme ça, en arrivant à son bureau ce matin, il a pu voir son ultra tannant photographié ci-contre. Les séances de peinture finissent toujours pas se transformer en body painting, comme celle-ci où après avoir terminé la carte pour mon père, il s'est mis à danser en lui chantant "Bonne fête". C'est plus fort que moi, je l'avoue, je suis toujours l'initiatrice du body painting.
Je commence toujours par une attaque violente au thorax. Il s'occupe par la suite du reste (et de moi !).

Avant d'aller dormir, Loïc-Antoine a téléphoné mon père pour lui chanter "Bonne fête" et lui parler un peu. Monologue pendant toute la durée de l'appel : il nomme tout ce qui l'entoure, parle de ses ami-es et utilise une quantité infinie de non-mots. Après cinq minutes remplies de "ah ouais ?" de la part de mon père, le plus souvent, Loïc-Antoine raccroche.

Désolée gros-papa, je crois bien que Loïc-Antoine n'a pas encore saisi le sens des mots conversation téléphonique...

lundi 5 septembre 2005

Il est grand mon petit garçon. D'abord pour le papa qui s'est rendu au parc avec son fils samedi matin, il a rencontré une maman qui ne croyait pas que notre petit garçon n'avait que deux ans.
"26 mois plus précisément, v'voulez que j'sorte sa carte ?" Rien à faire pour cette maman qui est demeurée sceptique jusqu'à la fin. C'est vrai qu'il parle beaucoup et qu'il est grand, soit.
Le lendemain, j'attendais David avec Loïc-Antoine à la sortie d'un magasin. Assis sur un banc, on discutait ferme au sujet des mangues. C'est la saison, Loïc-Antoine en exigeait une, j'ai refusé, il s'est objecté, etc. Tout près de nous, une femme m'a demandé quel âge il a. "2 ans Mme..."
Elle remet la même histoire vécue le jour précédent : elle ne me croit pas. Bizarre. Elle enchaîne avec une série de comparaisons entre mon fils et son petit fils de quelques mois son aîné et finit par demander à Loïc-Antoine quel âge il a :
"Twa zans..."
Coudonc, j'en ai-tu manqué une ?

un, deux, twa, cinq, six, twa, cinq, DIX !
"Les canards d'un côté, les mouettes de l'autre, ok ? "

samedi 3 septembre 2005


Ils étaient bien contents de se retouver samedi lorsque nous avons fait une épluchette de maïsavec toute la famille de David. Je ne sais pas combien de fois Loïc-Antoine est tombé, s'est cogné ou est rentré en collision avec quelqu'un au cours de cette journée, mais chose certaine, ses petites jambes sont maintenant couvertes d'écchymoses de toutes les couleurs. Courir la tête dans le dos n'est sûrement pas l'idée du siècle, surtout quand les autres tornades présentes au rendez-vous ont cette même idée. Les fêtes de famille sont toujours bien amusantes pour les
c'est à moi le ballonnnn ! enfants, de tous âges... Zoé ne manque pas de rivaliser avec Loïc-Antoine côté énergie, jamais elle ne s'arrête. On a bien rigolé, on s'est bien amusé et 5 minutes après le départ, Loïc-Antoine a soudainement arrêté de parler et s'est endormi, crevé qu'il était.

Partie de footbal avec Kaya et Zoé.

vendredi 2 septembre 2005

  • me suis levée avec 27 minutes de retard.
  • suis partie avec 2 minutes de retard.
  • suis arrivée à l'école à l'avance.
  • ai fait mon horaire, me suis penchée sur le cas de quelques enfants.
  • ai eu quelques frissons d'effroi devant l'ampleur des problèmes.
  • ai discuté des problèmes avec monsieur le directeur.
  • suis repartie avec l'espoir au coeur.
  • ai dîné avec une charmante collègue.
  • plusieurs enfants m'ont souri.
  • ai trouvé une gardienne (enfin).
  • ai observé les comportements de plusieurs p'tits loups sur la cour de récréation.
  • ai pris ma bécane ce matin, mais suis repartie en voiture avec Alaxandra.
  • suis allée prendre un café avec celle ci-haut mentionnée et fiston.
  • suis rentrée à la maison.
  • ai pris des photos de mon fils (encore).
  • avons ri beaucoup, avons joué, avons chatouillé, avons observé, avons discuté, avons chanté, avons dansé, avons lu.
  • ai écouté le dialogue entre David et de Loïc-Antoine pendant que j'écris ce post.
  • écoute encore en ce moment la conversation entre Papa et Licou.
  • ai souri à plusieurs reprises.
  • n'ai pu m'enpêcher de rire quand Loïc-Antoine a dit que la pieuvre était un renard.
  • suis bien maintenant.

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