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mercredi 30 août 2006

lili et lo
Croqués sur le vif dans le chariot qui ramène Lili à la maison.

Pour ceux et celles qui ne le savent pas encore, Loïc-Antoine et Lili-Rose sont deux GRANDS amis. Ils sont dans le même groupe à la garderie et jouent toujours ensemble. Quand je vais chercher Loïc-Antoine le soir à la garderie, j'arrive avant la maman de Lili et toujours, il me demande de ramener Lili à la maison.

Ce soir, c'est main dans la main en courant qu'ils sont venus me rejoindre, la petite demande habituelle de L-A bien préparée. Pour sa part, je pense bien que les joues de Lili se touchaient ensemble. Elle me regardait comme ça, la tête un peu baissée, les yeux levés vers moi, bref, avec juste la bonne touche de timidité placée là où il faut pour me faire craquer. Puis, ils se sont retrouvés derrière moi près de la porte, comme si j'avais déjà dit oui. Ils étaient contents de souper ensemble... Let's go.

lundi 28 août 2006

la rentrée c'est...

  • se lever plus tôt, vraiment plus tôt, (de deux heures en fait);
  • prendre deux cafés et filer (bon, je sais que ma belle-mère n'est pas d'accord, mais !)
  • oublier mon lunch 3 fois sur 5;
  • dormir dans l'autobus;
  • me faire réveiller par le dernier passager en descendant du bus;
  • marcher entre les transferts;
  • ne prendre aucun escalier roulant, sauf le vendredi au retour, en guise de récompense;
  • croiser les mêmes gens le matin et le soir;
  • imaginer des scénarios improbables sur la vie des gens que je croise le matin et le soir;
  • arriver un peu plus tôt à l'école pour déjeuner confortablement avant l'arriver des élèves;
  • et finalement, accueuillir les élèves.

À la maison, la rentrée, c'est :

  • planifier les repas (David est le roi);
  • ne plus jouer dehors aussi longtemps après le souper;
  • cuisiner;
  • aller aux pommes;
  • cuisiner les pommes;
  • faire les chutneys (y'a toute une série que je mijote pour vous Mesdames !)
  • porter des chandails chauds;
  • ranger les sandales
  • sortir les foulards;
  • pour la première fois cette année, planter mes bulbes;
  • ramasser des feuilles;
  • regarder des films les soirs de pluie;
  • sortir les couvertures chaudes;
  • chercher LE déguisement d'Halloween;

(et le souhait de David, ne pas mettre le nez dehors pendant 24 heures consécutives, voilà une bonne idée !)

jeudi 24 août 2006

La grande rentrée se faisait pour les 2 tiers de notre foyer ce matin. La semaine dernière, je suis allée chercher Loïc-Antoine à la garderie après un rendez-vous. Les enfants mangeaient leur collation. Il y avait un calme dans ce groupe... (cette éducatrice me semble bien encadrante, j'aime ça!), puis entre deux bouchées d'orange, Samuel a dit : "Moi, je m'ennuie beaucoup de Loïc-Antoine pendant ses vacances." Cette petite phrase, dit sur ce ton désolé, m'a fait craquer. J'imagine qu'aujourd'hui, Samuel était content.

lundi 21 août 2006

Il faisait beau et Lili est venue passer la journée à la maison. Heureusement, j'avais fait le tour de l'horloge (!), j'étais donc en super forme pour rivaliser avec Lili-Rose, celle qui ne se fatigue jamais (et les 6 derniers mots sont véridiques).

Les popsicles artificiels sont choisis avant ceux que je concocte à partir de purée de vrais fruits, oui Madame !
Lili et Loïc reprennent de l'énergie pour mieux continuer.
(Je ne peux absolument pas croire que jeudi, c'est la rentrée !)

dimanche 20 août 2006

un an plus tard

la grande, c'est Kaya, sa soeur, c'est Zoé et le petit c'est Léo.  Loïc-Antoine est à droite.
La même photo prise l'année dernière.
*Pour voir l'autre, cliquez sur le lien bleu.

Cette photo était beaucoup plus facile à prendre. Léo a vieilli d'un an, on ne s'est pas battu pour la prendre, ils étaient tous prêts, beaucoup plus sages. L'endroit ? Devant notre maison. Ouais, ouais, bientôt, un tour à l'intérieur, duquel je suis de plus en plus fière.

Hier, nous avons reçu toute la famille de David, une occasion de pendre la crémaière en famille (le tour des amis viendra !) J'adore les parents de David, tout comme mes nièces et mon neveu.
Il y a Zoé que je trouve magnifique, avec ses longs cheveux et ses boudins. Je ne peux m'empêcher de passer sous silence la magnifique personnalité de Kaya, son intelligence vive, sa tendre sensibilité et sa curiosité. En ce qui concerne Léo, j'ai peu à dire, il m'est encore un petit être inconnu, qui pèse exactement le même poids que Loïc-Antoine et qui a la chance d'avoir les yeux bleus de sa mère.

zoé épluche du maïs
La délicate beauté de Zoé.

mercredi 16 août 2006

ma grand-mère Blanche serait fière de nous !

arrière petits-enfants de Blanche
Mélodie, Éliane, Olivier, Étienne, Loïc-Antoine et Jérémie devant la maison où notre grand-mère a grandi.

Dimanche, nous avons passé la journée avec tous les descendants de la famille de ma grand-mère. Elle a eu 4 garçons qui à leur tour ont eu des enfants. C'est maintenant notre tour d'avoir des enfants. Si ma grand-mère était encore avec nous, elle serait six fois arrière grand-mère. Je ne sais pas qui a eu l'idée de faire cette photo, mais je soupçonne ma chère cousine Mélanie d'y avoir pensé, à moins que ce ne soit David (?)
Je trouve le résultat très intéressant.

À noter : Mélodie est la soeur de Jérémie, (les enfants de mon cousin Jean-François), Éliane est la fille de mon frère et Olivier et Étienne sont deux frères, (les enfants de ma cousine Mélanie).

Le lendemain, Mélanie m'a téléphonée pour venir passer la soirée et une nuit à la maison avec ses enfants. Olivier et Loïc-Antoine sont devenus de bons copains et en partant tôt ce matin, c'est avec le coeur gros que Loïc-Antoine a laissé son "nouvel meilleur ami du monde entier" partir vers Québec.

lo et olivier
Loïc-Antoine et Olivier, juste avant le départ vers leur maison qui est loin, loin, loin.

lundi 14 août 2006

DDN 10 juin 2000 et 10 juin 2003

jérémie et loïc-antoine s'entendent très bien
Jérémie et Loïc-Antoine, nés à pareilles date (et par césariennes aussi !)

À pareille date, il y a trois ans, je passais beaucoup de temps chez la grand-maman de Jérémie, ma tante Micheline. Loïc-Antoine n'avait alors que quelques semaines. Quand j'étais avec ma tante, mon anxiété était pratiquement inexistante, mais dès que je passais la porte, elle me prenait au corps (surtout au coeur et au ventre). Je souffrais beaucoup, en toute honnêteté. À ce moment, je me croisais encore les doigts pour que ces malaises ne soient que passagers, j'avais encore beaucoup d'espoir.

Jérémie, le petit-fils de ma tante se faisait garder pendant que je me trouvais chez elle. Il avait alors trois ans, l'âge actuel de Loïc-Antoine. Je me souviens qu'en le regardant, mon angoisse augmentait d'un cran. J'étais persuadée que je ne saurais relever le défi de ces trois premières années. Palpitations, tensions musculaires et manque de salive étaient à l'honneur lorsque j'avais ces pensées (et Dieu sait à quel point je suis bonne dans mes scénarios anxieux). Heureusement, le temps, l'adaptation, le support de mes proches et bien d'autres facteurs ont fait que ces pensées ont disparu d'elles-mêmes, emportant avec elles mon épisode post partum, 10 mois plus tard.

Trois années ont passé depuis. Loïc-Antoine a maintenant 3 ans et Jérémie, 6 ans. Je ne sais pas ce qui a changé : si c'est moi, ou si c'est le temps qui a fait son oeuvre. Aujourd'hui, je peux imaginer Loïc-Antoine dans 3 ans, en toute confiance et sans anxiété. Je peux savourer son âge actuel, contrairement à sa première année où je désirais tant qu'il vieillisse, qu'il progresse. Quand je pose mes yeux sur Jérémie, je ne pense pas à Loïc-Antoine, à ce qu'il sera dans 3 ans. On verra bien.

mardi 8 août 2006

clean cut, j'aime vraiment pas finalement !
Dans un excès de folie et avec le retour de la canicule (hier seulement), j'ai coupé les cheveux de Loïc-Antoine très très courts hier matin. Il était tellement concentré sur son livre, il n'a rien dit du tout. Partis les boudins, finies les boucles.

C'est fou : je n'arrive pas à m'y habituer. On dirait un nouveau Loïc-Antoine. J'ai peut-être un peu trop osé après tout. Depuis, je tire sur le toupet que j'ai, je crois, coupé vraiment trop court. Ayant un examen de la vue aujourd'hui, je ne voulais pas que l'optométriste croit qu'il avait les cheveux dans les yeux (ce qui était vrai jusqu'à hier...)

Finalement, le test s'est avéré négatif. Loïc-Antoine a un oeil paresseux dû à une mauvaise habitude, rien de plus. En revanche, ce ne sont plus ses cheveux qui l'empêcheront de bien voir. Pour une fois, la bonne mère indigne que je suis à l'occasion aurait pu lui laisser ses cheveux pendouiller dans ses yeux. On se reprend au cours des prochains mois.

lundi 7 août 2006

deux semaines et deux jours

C'est tout ce qu'il nous reste avant la rentrée. Incroyable comme elles ont filé quand même, ces vacances. C'est dehors que l'on s'est le plus souvent retrouvé, dans notre piscine presque tous les jours, une fois à Montréal (je suis complètement désintox maintenant). On a jardiné beaucoup, beaucoup, on a terminé des travaux et creusé des trous, on a fait beaucoup de siestes et on a mangé de la crème glacée. Les jours continuent de passer à la vitesse de l'éclair. J'ai tellement de projets en tête, vous avez pas idée, d'autant plus que samedi, c'est mon beau piano qui va arriver.

David a retrouvé les photos de la maison avant que nous y habitions (au moment de l'achat), je vous promets une série d'avant/après, mais pas avant que les travaux de la cuisine soit débutés, ce qui devrait arriver très très bientôt.

Finalement, peut-être qu'à la rentrée, ce seront mes vacances qui vont commencer...

* Annie, t'ai-je dit que cette année, c'est surtout avec les tout-petits que je vais travailler ?

jeudi 3 août 2006

Dj
Hey, Dj... (attends encore un peu...)

mercredi 2 août 2006

si je ne les note pas, je les oublierai

xylophone = zérophone
porc épic = pop pépic
pop corn = pop cogne (qu'il aimerait bien manger...)
yogourt = nogourt
l'ordinateur = le lessilateur
descendre de... = descender de...
l'oiseau = le noiseau
l'avion = le navion
comme ça = conne ça

Mon coup de coeur va pour les Smarties qu'il appelle Marsties.
Depuis, c'est toute la maisonnée qui a pris l'habitude des les appeler ainsi.

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