Le garçon fougueux
adj. Qui manifeste de la fougue. D'une ardeur impétueuse ; élan enthousiasme (Larousse 2008). Qui entretient la santé cardio-vasculaire de ses observateurs (Caroline 2009).
jeudi 31 mai 2007
lundi 28 mai 2007
Depuis qu'ils sont tout petits, je suis du même avis :
Loïc-Antoine et Zoé se ressemblent (peut-être les yeux ?)
Loïc-Antoine et Zoé se ressemblent (peut-être les yeux ?)
dimanche 20 mai 2007
Chaque fois que nous avons un congé de trois jours (oui-oui, chaque fois...), l'un d'entre-eux est malade. Je dis l'un d'entre-eux parce que la bonne chose avec le fait de travailler avec les enfants, c'est que pour ma part, je n'attrape plus jamais jamais rien: ni de rhume, ni de nez congestionné ou de nez qui coule: nothing. Si bien qu'une fois de plus, on passe un long week-end à rester à la maison, à veiller le malade, cette fois-ci étant David.
Bon ok. Pour une fois en cinq ans, j'ai eu le mal de gorge du siècle depuis dimanche dernier. Il fallait me voir jeudi matin : mes ganglions se confondaient avec les os arrière de ma mâchoire : oh yeah. Heureusement, 8 jours plus tard, je me sens vraiment mieux, mais David n'a pas trouvé mieux à faire que d'attraper ledit mal de gorge du siècle. Résultat : il est faible et c'est pourquoi il acquiesse à tous mes désirs, notamment prendre une photo alors qu'il arrive difficilement à tenir l'appareil entre ses mains... :
Je réalise que je n'ai (presque) pas de photo avec mon fils.
Quelque chose me dit que Loïc-Antoine n'a pas hérité de ma légendaire épaisseur de cheveux (c'est une bonne chose...)
Note pour Alexandra : Comme je te disais hier, je n'en peux plus de tous ces cheveux : j'irai chez Pure avec ou sans toi... ;)
Bon ok. Pour une fois en cinq ans, j'ai eu le mal de gorge du siècle depuis dimanche dernier. Il fallait me voir jeudi matin : mes ganglions se confondaient avec les os arrière de ma mâchoire : oh yeah. Heureusement, 8 jours plus tard, je me sens vraiment mieux, mais David n'a pas trouvé mieux à faire que d'attraper ledit mal de gorge du siècle. Résultat : il est faible et c'est pourquoi il acquiesse à tous mes désirs, notamment prendre une photo alors qu'il arrive difficilement à tenir l'appareil entre ses mains... :
Je réalise que je n'ai (presque) pas de photo avec mon fils.
Quelque chose me dit que Loïc-Antoine n'a pas hérité de ma légendaire épaisseur de cheveux (c'est une bonne chose...)
Note pour Alexandra : Comme je te disais hier, je n'en peux plus de tous ces cheveux : j'irai chez Pure avec ou sans toi... ;)
jeudi 17 mai 2007
mardi 15 mai 2007
Vendredi soir dernier, Loïc-Antoine avait oublié son petit cadeau de la Fête des Mères chez son amie Lili : un petit pot de grès peint en bleu, décoré avec des brillants et une (mystérieuse) plante qui pousse à l'intérieur (je crois bien que c'est du gazon). Bref, il y avait mis tout son coeur, si bien qu'il était très content en voyant les parents de Lili le ramener chez nous.
Quand nous sommes rentrés dans la maison, Loïc-Antoine était passablement excité parce que a) il venait de me remettre ce cadeau, b) il venait de jouer avec Lili et c) son amie Mila était, pour un deuxième vendredi, en visite à la maison. Il est rentré dans la maison si rapidement qu'il a voulu revenir sur ses pas pour retourner dehors. Sauf que j'étais juste derrière lui, son cadeau à la main.
Le petit pot s'est cassé en une dizaine de morceaux.
Loïc-Antoine a pleuré très fort en disant que ma surprise de la Fête des Mères était brisée pour toujours.... Il sautait sur place en cherchant son souffle... et il a pleuré très fort dans mes bras.
Cet épisode m'a rendue soudainement très amoureuse du petit pot cassé sur le plancher...
J'ai mis toute ma confiance en Crazy Glue. Le lendemain, David et Loïc-Antoine ont recollé tous les petits morceaux et ils ont remis la plante en place. Dimanche, Loïc-Antoine m'a de nouveau offert le petit pot cassé-recollé pour la Fête des Mères, cette fois-ci, avec le sourire.
C'était le plus beau cadeau qui soit... Quelle belle journée...
Chaque fois qu'il le prend, le balai se transforme en guitare électrique.
Un autre beau cadeau.
Quand nous sommes rentrés dans la maison, Loïc-Antoine était passablement excité parce que a) il venait de me remettre ce cadeau, b) il venait de jouer avec Lili et c) son amie Mila était, pour un deuxième vendredi, en visite à la maison. Il est rentré dans la maison si rapidement qu'il a voulu revenir sur ses pas pour retourner dehors. Sauf que j'étais juste derrière lui, son cadeau à la main.
Le petit pot s'est cassé en une dizaine de morceaux.
Loïc-Antoine a pleuré très fort en disant que ma surprise de la Fête des Mères était brisée pour toujours.... Il sautait sur place en cherchant son souffle... et il a pleuré très fort dans mes bras.
Cet épisode m'a rendue soudainement très amoureuse du petit pot cassé sur le plancher...
J'ai mis toute ma confiance en Crazy Glue. Le lendemain, David et Loïc-Antoine ont recollé tous les petits morceaux et ils ont remis la plante en place. Dimanche, Loïc-Antoine m'a de nouveau offert le petit pot cassé-recollé pour la Fête des Mères, cette fois-ci, avec le sourire.
C'était le plus beau cadeau qui soit... Quelle belle journée...
Chaque fois qu'il le prend, le balai se transforme en guitare électrique.
Un autre beau cadeau.
lundi 7 mai 2007
En revenant à la maison, j'entre dans la chambre de Loïc-Antoine sur la pointe des pieds :
m = Oh, mais tu ne dors pas ?
l = Non, je t'attendais.
C'était une belle journée à la garderie aujourd'hui.
m = Ah oui, tu t'es bien amusé ?
l = Oui. En plus, ce soir c'était not'soirée d'gars.
m = Oui... c'est vrai. Alors, c'était amusant ?
l = Oui Maman. La prochaine fois, tu viendras à not'soirée d'gars.
m = Oh, mais tu ne dors pas ?
l = Non, je t'attendais.
C'était une belle journée à la garderie aujourd'hui.
m = Ah oui, tu t'es bien amusé ?
l = Oui. En plus, ce soir c'était not'soirée d'gars.
m = Oui... c'est vrai. Alors, c'était amusant ?
l = Oui Maman. La prochaine fois, tu viendras à not'soirée d'gars.
samedi 5 mai 2007
sweet mila
Mila est venue passer la nuit à la maison. Elle est arrivée hier soir (vendredi), tôt, après le souper. Ils se sont amusés comme des fous, surtout dans le bain, lequel s'est pratiquement vidé de son contenu sur le plancher et sur les murs.À la question : "Ben, t'étais où Caroline... ? ", je répondrai que j'étais à côté d'eux, à les encourager. Je pense qu'à ce moment, David était un peu découragé (surtout quand les serviettes se sont ramassées dans le bain avec les p'tits).
Aujourd'hui, on a passé la journée dehors. Entre les courses folles, les bulles de savon et les cris (très haut perchés) de bonheur, aucune chicane, aucun pleur. Étrange, ces amitiés paisibles, tranquilles : avec Lili, Rafael et Mila, le temps passe toujours très/trop vite.
Ahhhh... mon garçon :
Comme toujours, les photos prises à l'extérieur sont les plus belles.