Le garçon fougueux
adj. Qui manifeste de la fougue. D'une ardeur impétueuse ; élan enthousiasme (Larousse 2008). Qui entretient la santé cardio-vasculaire de ses observateurs (Caroline 2009).
jeudi 29 mars 2007
Comme deuxième carrière, j'envisage sérieusement la coiffure.
Je suis allée chercher Loïc-Antoine et Lili à la garderie ce soir, ai ramené Lili souper avec nous. Les petits ont joué, si bien, si bien...
Quand nous avons croisé Arnaud devant la maison, Loïc-Antoine lui a dit : "Arnaud, regarde, moi j'ai une princesse, elle s'appelle Lili, elle peut être ton amie aussi..." (assez simple, la vie, à 3 ans quand même... ) Mais Lili a dit qu'elle voulait rentrer. Elle avait l'air de s'en foutre totalement de cette nouvelle possibilité d'amitié (j'adore). En sortant de la garderie avec Lili, nous avons croisé les parents de Maxime. Sa mère m'a demandé si Loïc-Antoine pouvait aller jouer avec son fils samedi, ou dimanche. J'ai accepté.
5 minutes plus tard, Lili m'a demandé si Loïc-Antoine pouvait jouer avec elle samedi, ou dimanche. Trop cute cette façon de dire "mon copain, je partage pas..."
mardi 27 mars 2007
Les pantoufles de Loïc-Antoine.
Puis, une évidence : bientôt, elles seront trop petites. Loïc-Antoine porte des Robeez depuis sa naissance. Elles sont parfaites. Mais ! comme toute bonne chose à une fin, nous arrivons au terme de cette belle aventure : pas de taille plus grande que celles-ci.
Quelqu'un a-t-il une solution à ce très grave problème ?
lundi 19 mars 2007
La cabane à sucre de Loïc-Antoine.
À remarquer : aucun érable.
Toute la semaine, ils ont préparé leur sortie en faisant leur causerie matinale et leurs bricolages autour de ce thème. Je me suis surprise à signer la feuille d'autorisation de sortie sur-le-champ. Ce n'est que la veille de la sortie, soit jeudi, que j'ai eu une vague de : ah-non-pas-la-cabane-il-va-se-perdre-dans-le-bois... et une autre : l'autobus-va-tomber-dans-un-ravin (aucun sur la route).
Loïc-Antoine est allé à la cabane à sucre malgré toutes ces pensées folles. Il a eu bien du plaisir, est revenu crevé et a mangé plein de tire qui donne mal au coeur (comme il dit). Je dois avouer que bien que je tienne à ce qu'il fasse toutes les activités et les sorties avec ses amis, je ne peux m'empêcher d'être inquiète la veille de la sortie. J'imagine qu'avec les années, on s'y habitue.
Ah oui, Loïc-Antoine ne cesse de me dire que bientôt, nous irons à la cabane à sucre tous ensemble, avec Grand-papa Kirouac, parce que lui, il adore les crêpes et le sirop d'érable.
Maro-l'organisatrice : Qu'est-ce t'en penses ?
mercredi 14 mars 2007
de l'utililé de faire des tiers avec une demie
En revenant de l'université ce soir, je suis tombée sur la motié d'un oeuf en chocolat posé dans la tasse à espresso de Loïc-Antoine. David m'a dit que Loïc-Antoine lui avait mentionné que cette moitié serait divisée en deux parties égales demain matin : une moitié pour lui, une moitié pour David et une moitié pour moi. Je pense que Loïc-Antoine n'a pas encore compris qu'au déjeuner, il n'y a pas de place pour le chocolat, même dans une tasse à espresso.L'université : ma collègue a abandonné le cours devant la surcharge et le zèle excessif de ma toute dévouée, exigeante, passionnée, folle et mystérieuse professeure. Heureusement, des finissantes du programme dans lequel je suis inscrite m'ont confié que ce cours était de loin le plus difficile. Plus que 5!
jeudi 8 mars 2007
Il faisait si froid aujourd'hui qu'on a du mal à passer plus de dix minutes à l'extérieur. On a donc mis les voiles vers le Biodôme aujourd'hui (qui sentait le petit poisson pas frais sur presque tout le parcours...) et on a ainsi bouclé la boucle du concept pingouins-pendant-la-relâche. Ah oui : hier, on est allé au voir Happy feet au cinéma et aujourd'hui, on est allé voir les vrais pingouins. Concept de prof... (et la relâche ?)
C'était notre 3e visite au Biodôme depuis la naissance de Loïc-Antoine. Depuis le temps, je remarque que la quantité de pingouins diminue, que les chauves-souris sont beaucoup moins nombreuses et que certains perroquets manquent à l'appel. C'est peut-être le signe que j'ai fait le tour du Biodôme. Sur le chemin, j'ai pensé 2 secondes à me rendre au jardin botanique, mais lorsque j'ai réalisé que j'étais seule pour affronter les papillons avec Loïc-Antoine, j'ai continué vers le Biodôme... N'empêche que je me promets bien de m'y rendre sous peu puisqu'il y a aussi le projet magnolia-en-fleurs qui chaque année, revient. Des intéressées pour la mi-mai ?
Ces journées passées seule avec Loïc-Antoine me confirment à quel point l'idée que je me fais de lui est juste au fil du temps qui passe. Il est curieux, enjoué, bon tannant, taquin et inépuisable. Vivement l'été.